[vc_row content_placement= »middle » height= »small » color_scheme= »alternate »][vc_column width= »1/2″][us_page_title font_size= »1.8rem » inline= »1″ description= »1″][/vc_column][vc_column width= »1/2″][us_breadcrumbs show_current= »1″ font_size= »0.9rem » align= »right » separator_icon= »material|chevron_right »][/vc_column][/vc_row][vc_row height= »auto »][vc_column][vc_row_inner][vc_column_inner width= »2/3″][us_image_slider ids= »22938,22943″ autoplay= »1″ autoplay_period= »5″ img_size= »full » img_fit= »cover »][ultimate_spacer height= »25″][vc_column_text]
Les trois espèces de reptiles terrestres endémiques de La Réunion sont :
Les geckos verts :
• Phelsuma borbonica ou Gecko vert de Bourbon, (EN : en danger d’extinction)
• Phelsuma inexpectata ou Gecko vert de Manapany (CR : en danger critique d’extinction).
Le Scinque :
• Cryptoblepharus boutonii, ou Scinque de bouton.[/vc_column_text][/vc_column_inner][vc_column_inner width= »1/3″][ultimate_spacer height= »25″][ultimate_spacer height= »25″][vc_column_text]
Une vingtaine d’espèces de reptiles terrestres sont présentes à La Réunion.
Certaines sont endémiques (Gecko vert de Bourbon, Gecko vert de Manapany),
d’autres exotiques voire envahissantes (Gecko vert poussière d’or, Agame des colons).
Sur les 7 espèces de reptiles originelles de l’île (présentes avant l’arrivée de l’homme), 3 espèces seulement vivent encore à La Réunion.
Elles sont endémiques et sont uniques au monde. Leur disparition à La Réunion équivaut à la disparition de l’espèce au niveau mondial.[/vc_column_text][/vc_column_inner][/vc_row_inner][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column width= »1/2″][vc_column_text]
Attention de ne pas confondre les reptiles endémiques avec les espèces exotiques suivantes :
Au moins 15 espèces de reptiles appartenant à 5 groupes ont été introduites sur l’île de La Réunion par l’homme et se sont acclimatées. Certaines d’entre elles sont connues pour représenter un danger pour les espèces de reptiles ou même d’oiseaux endémiques.
Remarque : Les espèces exotiques indiquées en rouge sont celles qui représentent le plus grand danger pour la faune et la flore de La Réunion.
Si vous en observez, n’hésitez pas à nous les signaler !
Geckos verts (genre : Phelsuma) : Phelsuma astriata, P. cepediana, P. grandis, P. laticauda, P. lineata
Geckos nocturnes : Gehyra mutilata, Hemidatylus frenatus, Hemidatylus mercatorius, Hemidatylus parvimaculatus, Hemiphyllodactylus typus.
Agames : Agama agama, Calotes versicolore
Caméléons : Furcifer pardalis
Serpents : Lycodon aulicus, Ramphotyphlops braminus
De très nombreuses autres espèces vivent sur l’île chez les particuliers ou dans les animaleries et élevages (Nouveaux Animaux de Compagnie) et peuvent représenter un danger si elles venaient à s’échapper et à s’acclimater dans l’environnement.
[/vc_column_text][/vc_column][vc_column width= »1/2″][us_image_slider ids= »23165,23168,23171″ autoplay= »1″ autoplay_period= »5″ img_size= »full » img_fit= »cover »][/vc_column][/vc_row][vc_row height= »auto »][vc_column][vc_tta_accordion toggle= »1″ title_tag= »h2″][vc_tta_section active= »1″ indents= »none » i_position= »right » title= »Les espèces de reptiles terrestres de La Réunion » tab_id= »1538989320281-1a17f0ff-4c69″][vc_row_inner][vc_column_inner][vc_column_text]Les espèces endémiques sont indiquées en vert, les espèces exotiques en orange, et les exotiques représentant le plus grand danger pour la faune et la flore de La Réunion sont en rouge.[/vc_column_text][vc_column_text]
Geckos verts (genre : Phelsuma) :
• Phelsuma borbonica ou Gecko vert de Bourbon (EN : en danger d’extinction)
• Phelsuma inexpectata ou Gecko vert de Manapany (CR : en danger critique d’extinction)
• Phelsuma astriata
• Phelsuma cepediana
• Phelsuma grandis
• Phelsuma laticauda
• Phelsuma lineata
Agames :
• Agama agama
• Calotes versicolore
Caméléons :
• Furcifer pardalis
Geckos nocturnes :
• Gehyra mutilata
• Hemidatylus frenatus
• Hemidatylus mercatorius
• Hemidatylus parvimaculatus
• Hemiphyllodactylus typus
Scinques :
• Cryptoblepharus boutonii, ou Scinque de bouton
Serpents :
• Lycodon aulicus
• Ramphotyphlops braminus
Espèces disparues :
• Cylindraspis borbonica (ou indica )
• Gongylomorphus bojeri
• Leiolopisma ceciliae [/vc_column_text][us_separator][/vc_column_inner][/vc_row_inner][/vc_tta_section][vc_tta_section title= »Glossaire/vocabulaire » tab_id= »1538989320316-aa182831-f68b »][vc_column_text]
- Indigène : Une espèce est dite indigène quand sa présence dans une région du monde est naturelle, c’est-à-dire qu’elle n’est pas due à l’Homme et ses activités.
- Endémique : Certaines espèces indigènes n’existent que sur un territoire restreint : elles sont alors endémiques de ce territoire. Différents niveaux d’endémisme peuvent donc exister : endémique de La Réunion (c’est-à-dire que dans le monde entier ces espèces existent uniquement à La Réunion), endémiques de la zone Mascareignes, etc.
- Exotique : Une espèce est dite exotique lorsque sa présence dans une région du monde n’est pas due à un processus naturel de colonisation mais découle directement de l’activité de l’Homme. L’introduction n’est pas forcément volontaire (transport accidentel par bateau, camion, etc.).
- Espèce Exotique Envahissante : Toutes les espèces exotiques ne parviennent pas forcément à se maintenir dans leur aire d’introduction, mais certaines d’entre elles s’y développent fortement au point de devenir des menaces pour la conservation des écosystèmes, habitats ou espèces indigènes. Ces espèces exotiques sont alors dites envahissantes.
- Liste rouge UICN : la liste des espèces menacées pour la faune de La Réunion. https://cdnfiles1.biolovision.net/www.faune-reunion.fr/userfiles/Information/ListerougeFranceFaunedeLaReunion.pdf)
[/vc_column_text][/vc_tta_section][vc_tta_section active= »1″ title= »Zoom sur deux espèces exotiques mettant en danger le Gecko vert de Manapany » tab_id= »1538990910285-6e026ca7-8a5a »][vc_row_inner][vc_column_inner width= »1/2″][us_single_image image= »23165″ size= »medium »][vc_column_text]Le Phelsuma laticauda, ou gecko vert poussière d’or, est endémique du nord de Madagascar et a été introduit à la Réunion en 1975 dans les environs de Grand Fond sous forme d’œufs. Il est aujourd’hui abondant sur le tour de l’ile principalement au nord, à l’ouest et au sud. Des observations existent également à l’est, bien que la densité soit probablement moindre. On l’observe aujourd’hui en altitude.
Les mâles et les femelles sont très territoriaux : cette espèce est connue pour son agressivité envers ses propres congénères, et les juvéniles des autres espèces de geckos font occasionnellement partie de ses proies.
Par ailleurs, il est capable d’occuper la même niche écologique que le gecko vert de Manapany (Habitat, altitude, sites de reproduction, nourriture…) avec lequel il est déjà en sympatrie dans le sud de l’ile.
Compétiteur de notre « Géko Péi », le Phelsuma laticauda constitue une menace importante : si vous en voyez, n’hésitez pas à nous le signaler ![/vc_column_text][/vc_column_inner][vc_column_inner width= »1/2″][us_single_image image= »23168″ size= »medium »][vc_column_text]Le Phelsuma grandis, ou grand gecko vert de Madagascar, est endémique de Madagascar et a été introduit à La Réunion via un relâché d’élevage à Saint-André en 1994.
Capable de se maintenir y compris dans des milieux anthropisés ou très dégradés, il est présent un peu partout sur l’île.
Cette espèce qui peut atteindre 30 cm est un prédateur direct des geckos endémiques de La Réunion.
si vous en voyez, n’hésitez pas à nous le signaler ![/vc_column_text][/vc_column_inner][/vc_row_inner][/vc_tta_section][/vc_tta_accordion][/vc_column][/vc_row]